Mais parfois, notre amygdale cérébrale (à ne pas confondre avec les amygdales situées dans notre bouche donc), réagit de façon inadaptée face à une situation analysée comme stressante. Et si la fuite devant le lion affamé est adaptée (la grosse bête mange la plus petite), avoir la même réaction devant une souris apparait comme inadaptée (même si la souris semble vous regarder avec un oeil intéressé).
L’intérêt de l’hypnose ericksonienne (voir ici) pour lutter contre les peurs/phobies est important dans la mesure où l’on voit pouvoir, grâce à l’imagination, confronter la personne de manière progressive à son objet phobique tout en mettant en place les éléments nécessaires à une détente. Ainsi donc, cela permet de réajuster le niveau d’alerte de l’amygdale.